Apnée

Couverture

Couv 1ere apnee

Couv 4eme apnee

Texte de la 4ème de couverture

APNEE, un texte difficile sur l’hôpital déshumanisé par la science… où les protagonistes robotisés par l’intelligence artificielle, parlent mais n’entendent pas, où la victime entend

APNEE, un texte difficile sur l’hôpital déshumanisé par la science… où les protagonistes robotisés par l’intelligence artificielle, parlent mais n’entendent pas, où la victime entend mais ne peut parler… où la conscience peine à refaire surface quand il est si facile de se laisser happer par les profondeurs.

Mais ce serait compter sans l’amour et l’amour nous conte le désir de vivre !

mais ne peut parler… où la conscience peine à refaire surface quand il est si facile de se laisser happer par les profondeurs.

Mais ce serait compter sans l’amour et l’amour nous conte le désir de vivre !

                                                        

« L’apnée fut profonde et longue – l’accoutumance à la pression, à l’obscurité, au froid nous a dangereusement donné un sentiment de sécurité. Flottaison narcissique qui ressasse les passions intimes, satisfaction du ressac émotionnel qui berce, apaise, conforte. Nous avons encore la force de palmer, tendre la pointe de sa volonté, pousser à la surface des mots, aller chercher l’inspiration, la poursuivre, entamer l’ascension. Nous sentons la pression diminuer un peu, il fait toujours si noir, pourtant. Nous reconnaissons le sens, nous pouvons remonter… »

                                                                   Camille Jamin-Piferini

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