Avant qu'Andria Costa ne s'avise de venir vivre à Imiza, Samuel Romani avait vu disparaitre tous les habitants. Moins il y avait de monde, plus il noircissait les pages. Après longtemps d'une écriture d'outre-tombe, il voulut raconter l'histoire d'une jeune femme égarée dans la montagne.
Si la vie n'était qu'un roman peuplé d'êtres fictifs, un songe dont on s'éveille à l'instant de la mort, alors, tout ne serait que littérature.